COMMENT AIMES-TU ?

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« Comment te laisses-tu aimer ? 

Si tu te laisses aimer ?

Laisses-tu l’amour entrer dans ta vie,

dans ton coeur, dans tes journées ?

Où en as-tu peur ?

Subtilement, ou pas,

lorsque l’on manifeste de l’amour pour toi,

quel qu’en soit la manière

– puisque nous savons

qu’il y a plusieurs manières d’exprimer

son amour (par des mots, du toucher,

des services rendus,

des temps de qualités partagés,

des cadeaux, etc.) :

En as-tu peur ?

As-tu l’impression que cela t’enferme

et te limite ?

Te sens-tu obligé.e de rendre ce qui t’es donné ?

As-tu la crainte de créer de la dette ?

Est-ce que cela éteint une forme de liberté

(illusoire) en toi ?

Ne te laisses-tu pas aimer

à travers ces manifestations

parce que tu aurais la sensation

de perdre le contrôle ?

Contrôler le quand et comment

et de quelle manière donner,

pour recevoir ce que tu veux recevoir ?

Je remarque que c’est un long chemin

que d’apprendre à recevoir de l’amour

sans se fermer, sans avoir peur,

sans se sentir étouffé.e…

C’est une posture intérieure

qui demande à s’ouvrir totalement

à la qualité de l’autre à aimer à sa manière,

à ressentir le bonheur qu’à l’autre

à exprimer son amour.

Et d’être dans cette posture avec confiance.

Parce que, bien trop souvent,

nous avons été mal-aimé,

et la blessure de l’amour reste là,

tapis dans l’ombre…

à se méfier de l’amour que l’autre nous offre,

en se demandant inconsciemment

à quel moment devrions-nous en payer le prix !

C’est alors que l’amour fait peur,

c’est ainsi que l’on se met à fuir l’amour,

et on part à la recherche d’une personne

qui nous aimera mal…

parce qu’au moins ça on connaît !

Préfèreras-tu une personne

qui te montrera peu son amour,

voir préféra être dure et rejetante,

car de cette manière, toi, tu pourras aimer,

courir après l’amour,

sans risque de t’abandonner à coeur-ouvert ?

Et ainsi tu auras (le mirage du) le contrôle du

curseur de l’amour, même si cela est souffrant.

Le chemin de l’amour est une voie puissante

de transformation à partir du moment

où l’on choisit d’y œuvrer en conscience,

dans la vibration de guérison…

Il y a des vies pour apprendre à aimer

et de vies pour aimer vraiment…

Où en es-tu toi ? »

[

(Terre-Happy)

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FEMME AU FOYER

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« Ma femme ne travaille pas »…

Conversation entre un mari (H)

et un psychologue (P):

Q: que faites-vous dans la vie Mr. Rogers?

H: Je travaille comme comptable

dans une banque.

P: Ta femme ?

H: Elle ne travaille pas. Elle est femme au foyer.

Q : Qui prépare le petit déjeuner

pour votre famille ?

H: Ma femme parce qu’elle ne travaille pas

Q: À quelle heure votre femme se réveille-t-elle ?

H : Elle se réveille tôt

parce que ça doit être organisé.

Elle organise le déjeuner pour les enfants,

s’assure qu’ils sont bien habillés et peignés,

s’ils prennent le petit déjeuner,

s’ils se brossent les dents

et prennent toutes leurs fournitures scolaires.

Elle se réveille avec le bébé

et change des couches et des vêtements.

Allaite et fait aussi des collations.

Q : Comment vos enfants vont-ils à l’école ?

H: Ma femme les emmène à l’école,

parce qu’elle ne travaille pas.

P: Après avoir emmené leurs enfants à l’école,

elle fait quoi ?

H : En général, ça prend un certain temps

pour trouver quelque chose

qu’elle peut faire pendant qu’elle est dehors,

donc elle n’a pas à faire ses valises

et défaire son siège auto trop souvent,

comme déposer des factures

ou faire un arrêt au supermarché.

Parfois elle oublie quelque chose

et doit refaire le voyage, bébé en remorquage.

Une fois de retour à la maison,

elle doit nourrir le bébé et allaiter à nouveau,

changer la couche du bébé

et préparer la sieste, trier la cuisine

et ensuite s’occupera de la lessive

et du nettoyage de la maison.

Parce qu’elle ne travaille pas.

P: le soir après rentrée du bureau tu fais quoi ?

H: Repos bien sûr.

Bon je suis fatiguée après avoir travaillé

toute la journée à la banque

Q: Que fait ta femme la nuit ?

H: Elle fait le dîner, sert mes enfants et moi,

lave la vaisselle,

commande une fois de plus la maison,

s’assure que le chien est rangé

ainsi que tout ce qui reste au dîner.

Après avoir aidé les enfants avec HW,

elle les prépare à dormir en pyjama

et le bébé porte des couches fraîches,

donne du lait chaud,

vérifie qu’ils se brossent les dents.

Une fois au lit, elle se réveille fréquemment

pour continuer à allaiter

et peut-être changer une couche si nécessaire

pendant que nous nous reposons.

Parce qu’elle n’a pas à se lever pour le travail.

-C’est le quotidien de beaucoup de femmes

à travers le monde,

ça commence le matin

et continue jusqu’aux petites heures de la nuit…

Ça s’appelle « ne marche pas » ?!

Être femme au foyer n’a pas de diplômes,

mais a un rôle clé dans la vie de famille !

Profitez et appréciez votre femme,

mère, grand-mère, tante, sœur, fille…

Parce que leur sacrifice est inestimable.

Quelqu’un lui a demandé…

Tu es une femme qui travaille

ou c’est juste « femme au foyer » ??

Elle a répondu :

Je travaille en tant qu’épouse du foyer,

24 heures sur 24..

Je suis une mère,

Je suis une femme,

Je suis une fille,

Je suis le réveil,

Je suis le cuisinier,

Je suis la bonne,

Je suis le maître,

Je suis le barman,

Je suis la baby-sitter,

Je suis infirmière,

Je suis manuel,

Je suis officier de sécurité,

Je suis le conseiller,

Je suis le consolateur,

J’ai pas de vacances

Je n’ai pas de permis pour maladie.

Je n’ai pas de jour de congé

Je travaille jour et nuit,

Je suis tout le temps en service,

Je ne reçois pas de salaire et…

Malgré cela, j’entends souvent la phrase :

 » mais que faites-vous toute la journée ? « 

Dédicace à toutes les femmes

qui donnent leur vie pour le bien-être

de leurs familles

La femme est comme le sel :

On ne se souvient pas de sa présence,

mais son absence fait que tout reste sans saveur.3

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(auteur ?)

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LA FEMME MURE

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« La femme mûre ne domine pas, elle inspire.

Elle ne provoque pas, elle intrigue.

Elle n’est pas simplement intelligente,

elle incarne la sagesse.

Elle ne force pas les choses,

elle ouvre des horizons.

Elle n’est pas impatiente,

elle choisit le moment juste.

Elle ne court pas, elle danse avec le temps.

Elle ne cherche pas la quantité,

mais savoure l’essentiel.

Elle ne se contente pas de voir,

elle observe avec profondeur.

Elle ne marche pas, elle flâne avec grâce.

Elle n’exige pas, elle apprécie pleinement.

Elle ne juge pas, elle comprend.

Elle n’apporte pas seulement du réconfort,

elle enveloppe d’une chaleur douce.

Elle ne cherche pas à séduire,

elle réveille les sens.

Elle n’est pas capricieuse,

elle sait ce qu’elle vaut.

Elle ne brille pas d’éclat passager,

elle illumine durablement.

Elle ne cherche pas à être vue,

elle préfère être entendue et ressentie.

Elle ne devine pas, elle ressent avec finesse.

Elle ne parle pas de l’amour charnel,

elle l’incarne dans toute sa subtilité.

Elle n’est pas inflexible,

elle s’adapte avec élégance.

Elle ne commande pas,

elle guide avec assurance.

Elle ne cesse de renaître,

elle est en perpétuelle floraison.

La femme mûre est un bouquet

d’innombrables beautés,

car avant tout, elle est une femme… »

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(auteur ?)

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NE RESTE PAS ABATTU-E

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« Ne deviens jamais ce qui t’a blessé.

Ne laisse pas les mots durs

que tu as entendus dans ton enfance

définir qui tu es.

Ne reproduis pas les gestes violents

ou les silences indifférents qui t’ont fait souffrir.

Ne deviens pas ces cœurs fermés

ou ces portes inaccessibles

que tu as trop souvent rencontrées.

Ne transforme pas ta douleur

en critiques cruelles ou en regards froids,

car ce n’est pas ce que tu es.

Quand on souffre,

on peut être tenté de refléter cette souffrance

sur les autres.

On peut se laisser envahir par l’amertume,

la colère, la haine ou la honte,

et continuer ce cercle de douleur sans fin.

Mais tu as le choix, un pouvoir immense :

celui de rompre cette chaîne.

Cela demande du courage, de la force,

mais surtout de l’amour.

Décide de ne pas devenir ce qui t’a brisé.

Décide de changer l’histoire.

Offre aux autres ce que tu aurais aimé recevoir :

la patience, la douceur,

un regard bienveillant,

un geste chaleureux.

Fais de ta douleur une force, un tremplin,

une leçon.

Transforme-la en lumière pour guider les autres.

Tu n’as pas à perpétuer le cauchemar.

Tu peux en faire un souvenir,

une preuve de ta résilience, et avancer.

Fleuris là où on pensait

que tu ne pourrais pas.

Élève-toi au-dessus de la haine

et de la douleur.

Et rappelle-toi toujours :

tu es plus grand que ce qui t’a blessé. »

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(auteur ?)

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L’AMOUR S’ENTRETIENT

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« Négliger ou faire souffrir quelqu’un

qui vous aime est une erreur

qui peut avoir des conséquences profondes.

L’amour, bien qu’il puisse être sincère et fort,

n’est pas inépuisable

lorsqu’il n’est pas nourri par l’attention,

le respect et la réciprocité.

En blessant ou en ignorant une personne,

ou en exigeant constamment d’elle,

on risque de lui apprendre, malgré elle,

à se détacher et à vivre sans nous.

Une fois qu’elle se rend compte

qu’elle peut se suffire à elle-même,

notre place dans sa vie devient superflue,

et ses sentiments s’effacent peu à peu.

Alors même que ce n’était pas son choix.

C’est le retrait, le silence, le mépris,

l’indisponibilité,

le manque de fiabilité qui l’ont poussé

à se choisir…

L’amour n’est pas un dû, mais une décision.

C’est un choix constant de se montrer présent

et bienveillant envers l’autre.

Si l’on souhaite préserver une relation,

il est crucial d’en prendre soin.

En prenant soin de l’autre

comme s’il s’agissait se soi-même,

car un amour négligé finit irrémédiablement

par s’éteindre. »

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(auteur ?)

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SE METTRE EN COUPLE

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« Quand je me mets en couple avec toi,

je te présenterai aussitôt deux choses :

- Ce que je suis 

_ Où je vais 

Parce qu’on ne joue pas avec la vie des gens.

Parce qu’aimer, ce n’est pas juste ressentir,

c’est aussi construire. 

C’est important qu’on sache

dans quoi on s’engage. 

-  Voici la personne que je suis. 

 - Voici ma mission sur cette terre.

 - Voici pourquoi j’existe. 

- Et voici la direction que je prends. 

Si toi, ta direction est opposée à la mienne,

alors on se dépose,

sans haine, sans regrets.

Parce que le temps est trop précieux

pour se perdre dans des chemins

qui ne mènent nulle part. 

 Je n’ai plus l’âge de me mettre en couple

juste parce que je suis amoureux. 

Parce que l’amour, c’est beau ,

mais ça ne suffit pas.

On peut s’aimer , mais si on ne regarde pas

dans la même direction, on finit par se détester. 

J’ai vu des gens dire : “L’amour a ses raisons

bla-bla-bla…” 

Moi, je dis que la vision a ses directions

que l’amour ignore .

On ne va pas au sud avec une personne

qui va au Nord.

Vous n’irez nul part. 

On ne se met pas en couple

parce qu’on est amoureux.

 On se met en couple parce qu’on s’aligne. 

Et pourtant, je vois des gens s’accrocher

à des relations mortes ,

espérant que “l’amour suffira”.

L’amour ne suffit pas. 

L’amour sans vision,

c’est comme un bateau sans gouvernail. 

Tu flottes, tu dérives, et un jour, tu coules. 

On peut se mettre en couple pour le corps

quand on est adolescent

ou face à une Punu 

(on peut comprendre, ces gens-là ont des corps,

oh nguêbê, mama Esther Bêta Nkelelo).

Mais un adulte s’engage avec une personne

qui s’aligne à ses projets. 

 Ne pas avoir des directions qui s’alignent

ne veut pas dire que l’un de nous est mauvais.

Ça veut juste dire qu’on ne pouvait pas

avancer ensemble. 

Et c’est OK.

Mais le plus dur, c’est quoi ?

C’est de l’accepter. « 

|

(auteur ?)

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STOP AUX DISPUTES

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« J’ai atteint un point de ma vie

où les disputes ont perdu de leur charme.

Je suis à la recherche de la véritable essence

de la paix,

choisissant de valoriser ma sérénité

plutôt que l’impulsion de gagner à tout prix.

J’ai appris que la tranquillité

est un plus grand triomphe

que n’importe quelle dispute. « 

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(K Reeves)

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CE QUE VOUS ÊTES VRAIMENT

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« Vous n’êtes pas seulement un nom et un prénom,

 dotés d’une histoire sociale.

 Voici votre composition véritable.

 Vous êtes :

 71 % d’eau claire

 18 % de carbone

 4 % d’azote

 2 % de calcium

 2% de phosphore

 1 % de potassium

 0.5 % de soufre

 0.5 % de sodium

 0.4 % de chlore.

 Plus une bonne cuillerée à soupe

d’oligo-éléments divers :

 magnésium, zinc, manganèse, cuivre,

iode, nickel, brome, fluor, silicium.

 Plus encore une petite pincée de cobalt,

 aluminium, molybdène, vanadium, plomb,

étain, titane, bore …

 Voilà le secret de votre existence.

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 Tous ces matériaux proviennent

de la combustion des étoiles

 et on peut les trouver ailleurs que

dans votre corps.

 Votre eau est similaire

à celle du plus anodin des océans.

 Votre phosphore vous rend solidaire

des allumettes.

 Votre chlore est identique à celui qui sert

à désinfecter les piscines.

 Vous n’êtes pas que cela.

 |

 Vous êtes une cathédrale chimique,

 un faramineux jeu de construction

avec ses dosages,  ses équilibres,

ses mécanismes d’une complexité

à peine concevable.

 Car vos molécules sont elles-mêmes

constituées d’atomes,

 de particules, de quarks, de vide,

 le tout lié par des forces électromagnétiques,

gravitationnelles,

 électroniques,

 d’une subtilité qui vous dépasse.

 |

 Rien de ce qui vous entoure dans le temps

 et dans l’espace n’est inutile.

 Vous n’êtes pas inutile.

 Votre vie éphémère a un sens.

 Elle ne vous conduit pas à une impasse.

 Tout a un sens.

 Agissez.

 Faites quelque chose,

 de minuscule peut-être, mais bon sang,

 faites quelque chose de votre vie

avant de mourir !

 Vous n’êtes pas né pour rien.

 Découvrez ce pour quoi vous êtes né.

 Quelle est votre infime mission ?

 Vous n’êtes pas né par hasard. »

 |

 (Bernard Weber)

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SI J’AVAIS SU …

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« SI J’AVAIS SU… 

Si j’avais su que hier soir, en me couchant,

serait la dernière fois que je te verrais,

J’aurais pris le temps de venir te dire bonsoir,

de te serrer fort,

et de déposer un baiser sur ta joue.

Si j’avais su que ce matin-là,

en fermant la porte,

c’était la dernière fois que je t’entendrais partir,

Je t’aurais retenu(e) un instant de plus,

pour te dire combien je t’aime.

Si j’avais su que ce serait la dernière fois

que j’entendrais ta voix,

J’aurais tout enregistré, chaque mot,

chaque rire,

pour m’y accrocher à jamais.

Pourquoi attendons-nous souvent

que le temps des regrets

vienne frapper à notre porte ?

Pourquoi ne pas dire « je t’aime » aujourd’hui,

maintenant, à ceux qui comptent ?

Ne laissez pas vos chances vous échapper,

ne laissez pas vos silences

remplacer vos mots d’amour.

Car un jour, vous n’aurez peut-être pas

la chance de dire :

« Je t’aime, tu comptes pour moi. »

Ne vivez pas dans le « Si j’avais su… ».

Vivez dans l’amour, le moment présent,

et serrez-les contre vous,

tant qu’il en est encore temps.

 Prenez le temps, aimez sans compter. « 

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(auteur ?)

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MON SILENCE

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« Mon silence ne signifie pas

que je suis indifférente à ce qui se passe

autour de moi.

Au contraire, il est souvent le reflet

d’une profonde réflexion

et d’une observation attentive.

Parfois, les mots ne suffisent pas

pour exprimer ce que l’on ressent

ou ce que l’on pense.

Ils peuvent être maladroits, incomplets,

ou tout simplement incapables

de capturer l’essence de nos émotions.

Le silence, lui, a une puissance unique.

Il peut transmettre des messages

que les mots ne peuvent pas.

Il peut exprimer la douleur,

la contemplation, ou même la paix intérieure.

Mon silence est une forme

de communication subtile,

une manière de dire que je suis présente,

que je comprends, et que je ressens.

Ne prenez pas mon silence

pour de l’ignorance ou de l’indifférence.

Voyez-le plutôt comme une invitation

à regarder au-delà des apparences,

à comprendre que parfois,

le plus important n’est pas ce qui est dit,

mais ce qui est ressenti.

Mon silence est une preuve de ma sensibilité

et de ma profondeur,

un espace où les mots

ne sont pas nécessaires

pour que l’essentiel soit compris. »

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(M Ch)

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